mercredi 30 avril 2014

Alternatome



Alternatome, Le village Alternatiba du 82

Fin 2015, la COP 21, la conférence internationale de l’ONU sur le climat, aura lieu en France !
Le programme de la transition énergétique en France va être décidé en mai-juin 2014 !
Stop Golfech, France Nature Environnement , le comité anti nucléaire SO, OLIFERE 82, SDN 82,le Collectif 82 Non aux gaz de schiste, Au fil des Séounes
avec le soutien d’Attac 82, du MOC, du Sol Olympe…,
et d’autres qui ne vont pas manquer de se joindre à nous,organisons :
Les Samedi 3 et dimanche 4 Mai 2014 un rassemblement autour des alternatives  énergétiques, économiques et sociales dans le hall Jean Baylet à Valence d’Agen.Cette manifestation nommée ALTERNATOME 82 fait suite à l’appel de l’association BIZI! après le rassemblement ALTERNATIBA à Bayonne du 6/10/13, pour peser sur le cours des choses avant la COP 21 de 2015 à Paris.Nous invitons toutes les associations et groupes alternatifs du 82 à participer à ce « village des alternatives » selon le terme employé par BIZI.
Vous pouvez nous contacter en utilisant ce formulaire de contact.

 

http://img.over-blog-kiwi.com/0/75/21/10/20140415/ob_1ef0df_alernatome-affiche.bmp

Samedi 3 Mai 2014

  • 18H30 : Apero festif
  • 20H30 : Film débat « enquête d’hostilité publique de1979 » (55mns) et interventions rapides sur luttes actuelles (nuclèaire,, OGM, Lgv, Gaz de schistes, barrages) et alternatives proposées (plus en détails)

Dimanche 4 Mai 2014

  • 10H00 : Café –débat et musique en ville…..
  • 11H00 à 12H30 : Conférence « Enjeu climatique & danger du nucléaire »
  • 12H30 à 14H30 : Repas : »produits locaux « de la Confédération paysanne.
  • 14H30 à 16H00 : Conférence « Economies d’énergie »
  • 16H30 à 18H00 : Echanges sur les énergies alternatives.
  • FINAL « en musique »..
Toute la journée du dimanche 4 mai :   stands sur alternatives énergétiques, économiques et sociales.  

dimanche 27 avril 2014

Tchernobyl Day



26 Avril 2014 Toulouse ...







Nous n'étions pas nombreux pour la commémoration du 26 Avril 1986 à Tchernobyl et ses conséquences

Sans attendre le Fukushima Day du 11 mars 2015...


Rejoignez nous !



vendredi 25 avril 2014

Il n'y a plus d'accueil collectif pour la petite enfance à Auterive


La crèche et la halte-garderie d’Auterive sont aujourd’hui fermées pour effectuer des travaux de mise en conformité. Leur date de réouverture est aujourd’hui indéterminée.

Si vous souhaitez soutenir les parents, futurs-parents, la crèche et la halte-garderie d’Auterive pour réclamer leur réouverture dans les plus brefs délais, merci de signer la pétition ci dessous :

http://www.petitions24.net/reouverture_de_la_creche_et_de_la_halte-garderie_d_auterive

Avec le soutien d'Auterive en Transition

Plus d'explications...


Il n'y a plus de mode de garde collectif pour la petite enfance sur la commune d’Auterive

Nous, parents des enfants de la crèche d’Auterive, avons appris le 17 avril 2014 que la structure fermerait le lendemain soir pour effectuer des travaux de mise en conformité.

Ce choix du bureau de l’association apparaît comme une suite logique à l’avis défavorable émis par la commission de sécurité et nous le soutenons.

Nous apprenons ensuite que cet avis défavorable a été émis dès le 23 janvier 2014, date de réunion de la commission de sécurité. Pourtant, aucun des travaux demandés pour la levée de cet avis défavorable n’a été engagé durant ces trois mois !

Aujourd’hui, plus d’une semaine après la fermeture de la structure, et trois mois après la réception de l’avis défavorable, nous constatons que les travaux d’électricité n’ont pas été organisés, qu’ils ne sont toujours pas engagés et qu’aucune date de début de ces travaux n’est proposée.
La structure va donc rester fermée, rien ne s’y passera et ce pour une durée indéterminée pour les parents. Pendant tout ce temps, les enfants se retrouvent sans mode de garde.

Chaque jour, nous, parents, composons avec employeurs, famille, amis et entre-aide solidaire pour trouver des solutions de garde d’urgence. Cette situation de « ballotage » de nos bébés n’est pas sécurisante et nous met en alerte.

Les parents de la Halte-garderie d’Auterive, qui sont actuellement dans une situation similaire de fermeture pour travaux, s’associent à notre démarche.

Nous avons besoin de votre soutien pour exprimer l’inacceptable et faire accélérer le processus de réouverture des deux structures d'accueil collectif.

Nous souhaitons également exprimer notre solidarité envers les salariées de la crèche et de la halte-garderie qui voient la pérennité financière de la structure qui les emploie menacée par les prolongations de fermeture.

Les parents de la Crèche « l’Ile aux enfants » et de la Halte Garderie « les canailloux », à Auterive le 25 avril 2014.

ENERCOOP : Grands Prix de la finance solidaire 2013 -

Enercoop : Branchez-vous à l'écologie !

Branchez-vous à l'écologie !

Enercoop, fournisseur d'électricité éthique et coopératif, propose une offre unique, basée sur l'utilisation de sources d'énergie renouvelables pour la production d'électricité. Acte de consomm'action, rejoindre Enercoop c'est devenir acteur d'un changement réel de société. Participez au projet Enercoop, changez de fournisseur d'électricité !

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samedi 5 avril 2014

In vélo veritas



Le vélo est l’arme tranquille de la révolution écologique

Pascale Solana (Reporterre)
jeudi 3 avril 2014

Le vélo pourrait transformer nos sociétés cabossées. C’est le leit-motiv du journaliste Olivier Razemon, qui rappelle tout le potentiel économique du vélo et le pouvoir de transition qu’il porte en lui.

Plus d’une centaine d’amoureux de la petite reine de tous âges, beaucoup de militants, de ceux qui font la « vélorution » en deux roues tous les premiers samedis du mois dans les rues de Paris pour réclamer plus d’espace, se sont déplacés, la semainer dernière, à la Maison du vélo, près de la Bastille, à Paris.
Dehors, sur la chaussée, plein de vélos sagement garés. Comme dans son essai « poil à gratter », Le pouvoir de la pédale, au style drôle et léger, le journaliste-blogueur spécialiste des transports, d’urbanisme et des modes de vie, Olivier Razemon est invité à raconter comment le vélo pourrait transformer nos sociétés cabossées.

- Olivier Razemon -
Les participants se sont installés dans l’atelier, entre pneus pendouillant au plafond, fourches, guidons, clés et chaînes de toutes tailles méticuleusement bien classés. Les uns prennent des notes, d’autres filment, témoignent, tous ravis d’une publication redorant les guidons d’un objet trop souvent caricaturé et catalogué selon les époques : d’abord pour les prolos, puis pour les sportifs et les loisirs, et désormais pour les bobos ou les riches, bref jamais pour soi, toujours pour l’autre, et trop peu pensé pour réparer les villes. Pour Olivier Razemon et pour ce public tout ouïe, le vélo est pourtant l’objet idéal pour accompagner le changement de société.
Le vélo : un formidable potentiel économique
Robuste, fiable, ce mode de transport pourrait être plus répandu, on s’en doute. Tout comme on sait son intérêt pour la santé des hommes et de la planète. Pour désengorger les villes, les rendre plus douces, plus respirables, asphyxiées qu’elles sont par la suprématie de l’automobile.
Censée relier les hommes, l’auto aujourd’hui les isole dans des habitacles de tôles, « des bureaux mobiles » pour beaucoup, dévoreurs d’espace. Ce soir, Olivier Razemon insiste sur le formidable potentiel économique, généralement méconnu, du vélo.
Ce dernier peut non seulement revivifier les cœurs de villes, créer des connexions avec les banlieues mais en plus il est bon pour le commerce : « Des études montrent que les gens à vélos sont de meilleurs acheteurs que ceux en voiture ! » explique-t-il. De plus, à pied, en vélo, en selle, on se croise, on se salue, on discute… Bref, le vélo fait société.
En terme d’emplois, son potentiel tient la route nous assure-t-on, sans compter le volet recyclage et réemploi. « Il existe 70 ateliers-vélos participatifs et solidaires en France rappelle Amelie Dumoulin, du réseau L’Heureux cyclage, en progression avec 30000 utilisateurs, 80 salariés et 1 million de bénévoles.

Preuve que le vélo est bien l’outil d’une redynamisation de l’économie locale et de quartier. Les Français ont 26 millions de bicyclettes. 1,5 million de vélos finissent à la casse chaque année, le recyclage et le réemploi des pièces constituent un réservoir d’emplois à activer. »
L’autonomie retrouvée
Combien de villes de taille moyenne ne peuvent être visitées, ni même traversées si on n’a pas de voiture alors qu’il serait si simple de s’y déplacer à vélo ?, interroge Olivier Razemon. Longtemps classé objet du pauvre, le vélo est devenu l’objet du riche ou du bobo, mais c’est en réalité l’outil qui permet de redevenir autonome.
Dans les pays pauvres, avoir un vélo change la vie. De même, une voiture cassée doit passer par l’atelier de réparation ou être remplacée à la différence d’un vélo où l’on peut se débrouiller seul.
Alors que la voiture a dévitalisé les centres villes, favorisé l’étalement urbain, le vélo apparaît aujourd’hui comme l’outil idéal pour reconquérir la ville. Même si, ironie de l’histoire, c’est lui qui en son temps, a amené la vitesse et la motorisation dans la ville, précise Laurent Védrine, auteur du documentaire « La Reine Bicyclette » :
« Fin XIXeme-début XXeme siècle, il est le cheval de Troie de l’étalement urbain et de l’arrivée des véhicules motorisés. Souvent les mêmes fabricants ont prolongé l’industrie du cycle par celle du moteur et le vélo a permis aux ouvriers de s’installer au-delà des centres-villes, au bout des premières lignes de transports en commun ».

Ralentir la ville et accompagner la transition
Mais comme il a accompagné le changement de société et les utopies il y a plus d’un siècle, rappelle le réalisateur citant pour preuve un projet fou d’autoroute pour vélos dans la région de Birmingham pensé en 1896, la formidable simplicité du vélo pourrait permettre de ralentir les villes et d’accompagner la société vers une transition.
Que faire pour favoriser son usage ? C’est le moment de la soirée où la question mobilise plus que jamais la salle convaincue. Et chacun y va de son commentaire pratique :
« Pourquoi ça marche chez les Hollandais et pas chez les Français ? », « Question de fierté sans doute ! », « S’il y avait plus d’arceaux, plus de locaux à vélo… », « Et des douches sur les lieux de travail ! », « Pas la peine, pour moins de dix kilomtres, on ne transpire même pas ! », « Des aménagements sécuritaires… », « C’est plus complexe : à Copenhague il y a des aménagements et beaucoup de vélos », observe un participant belge. « A Bruxelles il y en a peu, et malgré tout, on y circule beaucoup à vélo ».

Le vélo a besoin d’une politique réfléchie... et de chacun de nous !
L’usage du vélo ne pourra se développer que s’il est l’objet d’une politique, ce qui ne saurait s’improviser. Il ne suffit pas de faire des pistes à vélos, commente Olivier Razemon, il faut une vraie réflexion, intervenir au niveau de l’urbanisme, et aussi de la communication.
Enfin, les expériences réussies montrent qu’un petit « coup de grâce » est également nécessaire. « Un événement qui amène les gens à s’y mettre, parce qu’ils y trouvent un intérêt » poursuit-il. De suite, on pense aux grèves, à la crise économique… une chance ?
En rendant difficile la circulation automobile par exemple les travaux du tram ont remis un certain nombre d’habitants de Bordeaux en selle. A cela s’ajoute une formule de prêt de vélo qui fait qu’aujourd’hui elle est parmi les premières villes cyclable de France.
Reste que si la transition cyclable relève de la politique, « elle n’est pas réservée aux seuls responsables politiques, comme l’écrit le journaliste dans son livre. Tout le monde est décideur (…). Nous pouvons tous enclencher cette ‘vélorution‘ ».

- Le livre d’Olivier Razemon : Le Pouvoir de la Pédale, Olivier Razemon, éd. Rue de l’Echiquier, 15 euros.

Un essai intelligent, bien documenté et agréable à lire avec un carnet pratique concret, des conseils et des adresses.

Source : Pascale Solana pour Reporterre
Photo :
. Chapô : Courrier International
. Réunion : DR.
. Vélos Pays-Bas : We Amsterdam
Lire aussi : Les routes à vélos conquièrent le nord de l’Europe.

mercredi 2 avril 2014

Le C.A.T. présent au 3ème tour

Le dimanche 16 mars Les auterivainEs étaient appeléEs à voter dans le cadre d'un Ciné Citoyen.


Malgré une météo incitant plus aux balades familiales sur les berges de l'Ariège ou au Bois Notre Dame, plus de cinquante personnes s'installèrent sur les fauteuils de l'Oustal pour visionner le film    In transition 2.0 et découvrir qu'une autre ville était possible.

Partant de Totnes, 9000 habitants en Grande Bretagne, berceau historique des  villes en transition, en passant par le Portugal, l'Italie, le Japon, l'Afrique, le continent nord américain, ils embarquaient pour un voyage à la rencontre de gens ordinaires capables de cultiver l'espoir et de réaliser des choses extraordinaires. 

De retour après 67 minutes de survol d'une planète qu'ils découvraient pour la plupart, les spectacteurs échangèrent avec les membres des Collectifs Toulouse en Transition et Auterive en Transition sur leurs projets respectifs.

Et puis vint le moment du vote.
Chaque participant à ce voyage citoyen fut invité à remplir un bulletin de rêve sur lequel il avait le loisir de répondre à 2 questions : 
  1. " Qu'est ce qui vous plait à Auterive ? "  
      2.  "Quel est votre rêve pour Auterive ? "

Après avoir déposé leurs voeux dans la "boitarêves",


les participants reprirent le chemin de leur quotidien avec semble-t-il une lueur d'espoir qui éclaira le chemin du retour.

Puis vint le temps du dépouillement qui confirma l'impression première à la sortie du bureau de vote de l'Oustal. 


Un taux d'attention proche de 100 % si on considère que la quasi totalité des spectacteurs ne quittèrent la salle de projection qu'à l'issue du débat.

35 votants pour 52 inscrits soit un taux de participation de 67,3 %,

Mais le plus important était ailleurs. Dans une expérience où la Démocratie retrouvait enfin ses racines.

C'est ainsi que les réponses à la première question firent le constat d'une ville où les habitants privilégient sa taille humaine, son centre historique et plus largement son cadre de vie malgré cette surabondance de supermarchés qui défigurent l'entrée de ville. D'une ville riche de son dynamisme associatif, de ses initiatives citoyennes qui s'exprime dans les AMAP, via le SEL et qui se félicitent de l'offre de services et culturelle au travers notamment de son cinéma indépendant.

Quant aux rêves exprimés en réponse à la question 2,  ils confirment le besoin de recréer des liens humains intergénérationnels au travers d'une demande forte de lieux de vie sociale tels qu'un café citoyen plébiscité, une guinguette estivale sur les berges de l'Ariège, de commerces de proximité, d'une épicerie sociale. Un besoin fort de lien social au travers de repas de quartier, de jardins collectifs.

L'autre attente très forte étant celle d'une ville où les déplacements doux seraient privilégiés pour relier ces lieux de vie où le temps de vivre, de partager et d'échanger reprendrait du sens.

A ce titre le projet Véloterive semble faire l'unanimité et pourrait être avec le projet " Faisons le F.E.T.E." (à découvrir dans les prochaines semaines...) la base d'une Transition citoyenne.

Cette manifestation citoyenne ne pouvait rester sans lendemain c'est la raison pour laquelle le programme né de cette concertation citoyenne ...


...devait pouvoir s'afficher aux yeux de tous et constituer une alternative.





Nos rêves sont là ! à nous de les réaliser... Rejoignez-nous pour le 3ème tour ! 

mardi 1 avril 2014

Autorive en force !


Lu dans la dépêchée ce jour juste sous la rubrique nécrologie :
 
Le nouveau maire d'Autorive fraichement élu et remis de ses émotions, a reçu le Collectif Automotrice en Transite et a affirmé sa volonté de faire de la ville une place forte, "un bastion de l’asphyxie et de la crise aigüe du gazole". Son idée est claire, il souhaite que le CAT dirige la ville à sa place !
"Plus de bagnoles et plus de pollution, plus de plastique et plus d'oxyde d'azote", tel est le facteur 4 à long terme même au delà du mandat. "Car 6 ans c'est pas de trop pour polluer beaucoup." Effectivement à ce rythme dans 6 ans il y aura encore de la sale herbe dans les fossés et elle recouvrira encore les détritus... "Sacrebleu qu'elle se tienne bien celle là : la verdure périra et s'il le faut : au chalumeau !"
Vraiment réjouissant la vertu recouvrira la verdure ! des poètes ces gens là... 
L'envoyé(e) dépêché(e) sur place.