Derrière la
télé, derrière le réfrigérateur ou
l’ordinateur, il y a une prise. Mais savez-vous
ce qui se cache derrière la prise ? Enercoop vous
propose un voyage unique pour
découvrir d’où vient son électricité
100 % renouvelable et coopérative !
Alors que le dirigeant de la Corée du Nord Kim Jong-un réveille le
cauchemar de l'escalade nucléaire , le mythe de l'équilibre de la
terreur vacille.
Face à l'opposition des nations nucléarisées... dont la France , 63 %
des Etats représentés à l'ONU ont voté le 7 juillet 2017 pour la
création d'un instrument juridique qui interdit la production et la
possession d'armes nucléaires.
Le Prix Nobel de la Paix a été attribué le 6 octobre dernier à l'ICAN
La sortie du film " La bombe et nous " produit par DHR qui sera projeté le samedi 11 novembre à 17 h au cinéma l'Oustal à Auterive est une formidable occasion de s'interroger sur ces contradictions .
Comment une petite commune alsacienne de 2200 habitants est
devenue championne internationale des villes en Transition ?
Comment un mouvement d'initiatives citoyennes se forme pour ré
imaginer et reconstruire notre monde ?
Venez le découvrir le Dimanche 24 septembre au Cinéma
l'Oustal à Auterive à l'occasion de la projection du film "
Qu'est ce qu'on attend ? " de Marie Monique Robin.
La revue de presse de ce film magnifique " dont on ressort
gonflé à bloc " c'est
ICI .
Le Camp Climat 2017 a rassemblé 600 personnes pendant 12
jours de formation intensive, du 4 au 16 août. L’enjeu : passer de la
formation à l’implication concrète dans le mouvement climatique via les
mobilisations prévues dès la rentrée et le nouveau Tour Alternatiba en
2018 ! 223 sessions de formation ont été
animées par plus de 60 formateurs dans le cadre du Camp Climat organisé
par Alternatiba, les Amis de la Terre et Action Non-Violence COP21
(ANV-COP21), dans le village de Maury (Pyrénées Orientales).
Communication, réseaux sociaux, vidéo, stratégie, logistique,
informatique, communication non-violente, action non-violente,
graphisme… de nombreuses compétences ont été partagées avant d’être
mises en pratique dans le cadre d’une simulation d’action non-violente
de masse grandeur nature, menée par 300 participants lors du dernier
week-end.
Le Camp Climat a également été
l’occasion pour des personnes venues de toute la France, de Belgique,
d’Espagne, d’Allemagne, de Suisse, de Tunisie, du Canada et de
République du Congo, de se rencontrer pour préparer les actions et les
mobilisations à venir. Un nouveau Tour Alternatiba est
notamment prévu pour l’été 2018. Comme l’édition de 2015, il parcourra
des milliers de kilomètres en France et dans les pays frontaliers, sur
des vélos multiplaces, pour mobiliser les citoyens et mettre en lumière
les alternatives en faisant étape sur près de 200 territoires. Organisé
par Alternatiba, ANV-COP21 et les Amis de la Terre, le nouveau Tour
Alternatiba 2018 s’inscrira ainsi dans la continuité des mobilisations
citoyennes pour le climat qui continuent de se renforcer depuis la COP21
et l’Accord de Paris.
D’ici là, un second Camp Climat est d’ores et déjà prévu à
Bamboung au Sénégal, organisé par Alternatiba Dakar du 15 au 24
septembre ! Toutes les infos sont ici.
Alors que
les engagements volontaires actuels des Etats nous conduisent vers un
réchauffement catastrophique de 3,5°C à 6°C, les citoyens doivent plus
que jamais continuer de se mobiliser à la fois sur le développement des
alternatives qui permettent de réduire drastiquement nos émissions de
gaz à effet de serre, tout en menant des actions non-violentes et
déterminées pour empêcher les projets très nocifs pour le climat qui
continuent d’être développés malgré les annonces faites lors de la
COP21.
Chaque
année plus tôt. Mercredi 2 août 2017, l'humanité a consommé
l'intégralité des ressources naturelles que la planète est capable de
renouveler chaque année. Il lui aura fallu seulement 214 jours, soit
huit de moins qu'en 2016. Jusqu'à la fin de l'année, notre civilisation
va donc vivre sur les réserves de la Terre pour continuer à se nourrir,
se chauffer, se déplacer... Une surexploitation des écosystèmes qui
compromet leur capacité à se régénérer.
Calculé tous les ans depuis 1986 par l’ONG Global Footprint Network,
le « jour du dépassement de la Terre » compare, grâce à plus de 15 000
données des Nations Unies, l’empreinte écologique de l’homme avec la
biocapacité de la planète. Jusque dans les années 1960, l’humanité est
parvenue à exploiter moins de ressources naturelles que la capacité de
la Terre à les reconstituer et à absorber les gaz à effets de serre. Un
seuil fatidique franchit en 1970, où la planète est devenue déficitaire
le 357e jour. En 2017, les besoins de l'humanité représentent 1,7 fois les capacités de sa planète d'accueil.
En
cause : la déforestation, la pêche intensive, la croissance
démographique et les émissions de CO2 toujours trop importantes : « Les
émissions de gaz à effet de serre représentent à elles seules 60% de
notre empreinte écologique mondiale », rappelle l'ONG dans son rapport.
Concrètement, ce dépassement des capacités de la planète se traduit de
plusieurs manières : acidification des océans, disparition des espèces,
érosion des sols, pénurie d’eau ou encore augmentation de la
concentration de dioxyde de carbone dans l’atmosphère.
Selon
Global Footprint Network et le WWF, « des signes encourageants »
indiquent cependant qu’il est « possible d’inverser la tendance ».
Malgré la croissance démographique et de l’économie mondiale, « les
émissions de CO2 liées à l'énergie n'ont pas augmenté en 2016 pour la
troisième année consécutive », relativisent les organisations. Un
phénomène qui peut s’expliquer par l’augmentation de la part des
énergies renouvelables.
Le meilleur moyen de voir cette triste date reculer reste que l’ensemble des pays signataires de l’accord de Paris respectent ses dispositions.